« Engagée sur les systèmes alimentaires, elle concerne également dans une vision systémique d’autres aspects de notre économie tels que la production d’énergies alternatives (méthanisation, biocarburants…) ou de fibres. »
Quelle réelle pertinence d’intégrer la méthanisation dans un « système agroécologique » ? l’expérience montre que certaines unités de méthanisation contribuent à « excuser » et à légitimer des augmentations de cheptel (sur un modèle intensif) sous couvert de faire fonctionner des unités de production d’énergie « durable »; avec en plus une appréciation relative du « biodéchet » qui est souvent cultivé exclusivement pour aller dans le méthaniseur
être « énergieculteur » pourquoi pas, mais ça ne peut pas être agroécologique si « L’agroécologie est une alternative à une agriculture intensive basée sur l’artificialisation des cultures par l’usage d’intrants de synthèse (engrais, pesticides…) et d’énergies fossiles »
Il y a un manque de cohérence dans cette définition.
Atteignons-nous le règne de l’agroécologiewashing ?
« Engagée sur les systèmes alimentaires, elle concerne également dans une vision systémique d’autres aspects de notre économie tels que la production d’énergies alternatives (méthanisation, biocarburants…) ou de fibres. »
Quelle réelle pertinence d’intégrer la méthanisation dans un « système agroécologique » ? l’expérience montre que certaines unités de méthanisation contribuent à « excuser » et à légitimer des augmentations de cheptel (sur un modèle intensif) sous couvert de faire fonctionner des unités de production d’énergie « durable »; avec en plus une appréciation relative du « biodéchet » qui est souvent cultivé exclusivement pour aller dans le méthaniseur
être « énergieculteur » pourquoi pas, mais ça ne peut pas être agroécologique si « L’agroécologie est une alternative à une agriculture intensive basée sur l’artificialisation des cultures par l’usage d’intrants de synthèse (engrais, pesticides…) et d’énergies fossiles »
Il y a un manque de cohérence dans cette définition.
Atteignons-nous le règne de l’agroécologiewashing ?